Une percée pour de l’électricité bon marché à partir de cellules solaires, et un investissement massif dans l’énergie éolienne, se traduira par la nécessité de stocker de l’énergie de manière intelligente. Selon une étude menée à l’Université de Linköping, et publiée dans la revue « Science », les batteries à partir des déchets biologiques des fabriques de pâtes à papier, pourraient fournir la solution.