A l'ère de l'information, certains pans sont encore cachés au citoyen lambda. Mais de puis la semaine dernière, le Centre National d'Etudes Spatiales a ouvert au grand public ses archives. Quel intérêt? Et bien, c'est la première fois au monde qu'un pays ouvre les dossiers relatifs aux OVNIS. Issus de notre imagination collective ou de la création cinématographique les OVNIS conservent un voile mystérieux sur l'idée d'une vie extra terrestre. Les archives du CNES recensent les cas, les alertes émises auprès des autorités. Même si bien souvent, les "rencontres du troisième type" s'avèrent être des objets inconnus du grand public (du genre "lanceur de brouillard" de la seconde guerre mondiale) ou des supercheries, 28% cas n'ont pas encore été résolus. Parfois il faut plusieurs années pour donner une explication. Les archives du CNES sur le sujet, c'est plus de 100 000 pages de procès verbaux, de rapports … qui vont être mises en ligne. A cela, il faut y ajouter des photos et des vidéos. Le cas le plus ancien répertorié date de 1937. Si vous souhaitez faire une pause et alimenter votre imagination sur les « Phénomènes Aérospatiaux Non Identifiés » parcourez le site du CNES ou télécharger les cas les plus marquants. Evitez toutefois de reproduire le coup de médiatique d'Orson Welles qui le 30 octobre 1938 annonce à la radio l'invasion des extra terrestres et sème la panique aux Etats-Unis.
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